Appartement d'IsisVISUEL - Isis habite dans un petit appartement trois pièces tout meublé et très coloré. Il y a une petite entrée avec un placard mural pour ranger toutes ses paires de chaussures et autres bricoles. On retrouve ensuite directement à droite la cuisine ouverte toute équipée qui longe le mur aux couleurs vert pomme, accompagnée d'une table aux mêmes couleurs. La pièce est également composée du salon avec un long canapé trois places et d'un fauteuil, ainsi que d'une petite télé bien trop vieille aujourd'hui. Les deux pièces restantes sont la salle de bain avec douche et la chambre d'Isis, décorée selon ses goûts. Elle possède aussi un petit dressing dans sa chambre et un bureau qu'elle n'utilise quasiment jamais. L'appartement en lui-même est assez lumineux avec ses grandes fenêtres et la décoration reste malgré tout assez personnelle avec quelques plantes pour apporter un peu de vie à son chez-soi.
 LOFT D'EMMA FORSTEimage Loft fort sympathique situé au troisième étage d'un ancien entrepôt, réaménage aujourd'hui en immeuble. Tout en longueur et hauteur, les verrières servant de fenêtre permettent d'éclairer aisément toutes les pièces et d'y placer diverses plantes pour rendre ce logement plus "vivant". Dans un style pur, sans extravagance, l'intérieur du loft change totalement de visage lorsque les centaines de lumières toutes aussi vives et colorés du centre-ville s'active, laissant place à une ambiance rétro futuriste. Le rez-de-chaussée est réservé à la pièce de vie, comprenant la cuisine, le salon, la salle à manger, tout cela sans aucun mur. Elle dispose également d'un espace de travail complètement désordonné. Des papiers partout, des photos, des magazines, tout ça recouvrant complètement son clavier d'ordinateur ainsi que le bureau. Un escalier permet d'accéder au premier étage où se côtoie la chambre à coucher, la salle de bain avec une douche à l'Italienne et un dressing à perdre la tête.
Situé au neuvième étage d'une chaîne d'appartements, studio et lofts, celui d'Ashe & Aokiji fait tout dans le moderne mais ressemble, si on ose s'approche de plus près, à une déchetterie ambulante où on ne sait même pas où poser les pieds. Il y a de tout partout, de la vaisselle pas lavée, des papiers importants et d'autres non, des cendriers çà et là et par dessus-tout des bouteilles vides. Niveau meubles, c'est composé d'un canapé-lit deux places qui grince tout le temps, d'un table à manger premier prix, d'une télé et d'une table basse où on retrouve plus de miettes de tabac qu'autre chose. Il n'y a qu'une seule grande fenêtre et un luminaire qui fait le job. Sans oublier le placard où s'entassent les cartons d'électroménager. Un havre de paix ressemblant à celui d'un jeune adulte fauché. Sauf qu'ils sont deux.
Le loft d'Ai est spacieux et impersonnel. Tous ses meubles et ses affaires sont organisés comme dans un catalogue ikea - froideur qui trahit la fausseté de son mode de vie. Sa cuisine et sa salle de bains sont à la pointe de la technologie. Le loft dispose d'un dressing, d'une buanderie, ainsi que d'une pièce verrouillée à laquelle Ai n'a pas accès.
Un appartement sans fenêtre qui sent la cigarette, où l'on peut accéder à la cuisine en s'asseyant sur le lit, avec salle de bain à deux (vraiment petits) pas de celui-ci. Un gain de temps incroyable, et un lieu parfait quand l'on veut être seul (ou déprimer).
Appartement situé au 18ème étage d'une des plus grandes tours du quartier, cher, vis-à-vis sur le reste de la ville (baie vitrée). Simple, moderne, gris. Pas franchement décoré (austère). Beaucoup trop grand pour une seule personne mais Kai apprécie l'espace (même l'espace vide). C'est un espèce d'open space + la chambre et la salle de bain à part ; cuisine/salle à manger/salon sont à la suite et c'est très américain (rien de traditionnel dans l'appartement sauf peut-être la chambre un peu plus lumineuse et colorée que le reste).
L'appartement se trouve au premier étage et réussit l'exploit paradoxal d'être peu décoré mais de ne jamais frôler l'accomplissement d'être parfaitement ordonné ou cohérent. S'il n'est pas étonnant de retrouver les clés que Sean cherche depuis vingt minutes posées dans le frigo à côté de parts de gâteaux invendues, de voir son matériel de nail art éventré sur la table basse depuis des jours ou une plante teinte jaune asséchée qu'il a oublié d'arroser au-dessus de l'armoire à l'intérieur de laquelle il place ses shampoings, la plupart des objets égarés se retrouvent tout simplement poussés dans son placard avant l'arrivée de ses invités. (Il va de soi qu'il est donc déconseillé de l'ouvrir sans casque et en son absence afin d'éviter tout début d'avalanche) Sa décoration est exclusivement constituée de ce que ses amis lui offrent, excepté les nombreux coussins, plaids et couvertures dont il raffole. Il serait presque possible de croire qu'Oblivion tente de créer des nids fluffy à chaque endroit où il est possible de s'installer chez lui, à tel point que son lit n'est plus qu'une agrégation presque montagneuse de douceur. De quoi créer une relation fusionnelle avec son pieu et rendre les séparations matinales plus douloureuses qu'elles ne devraient l'être...
| journal du rp ✎ ━ LET'S DANCE : LOLLIPOP x SPICE Y'en a une qui déprime comme une emo et une autre qui se ramène avec une humeur de bourrin arc-en-ciel ! Dans une ambiance de bar ennivrante où la danse fait fureur, elles sympathisent et p'têt bien qu'elles s'electrisent... LE LIEN ! S : Sa voix s'était chargée d'une émotion bien trop négative pour son habitude, et si son regard était teinté de mélancolie, une autre gorgée de Blue lagoon vint rincer tout ce qu'il en restait. Ainsi, son sourire radieux réapparut en un claquement de doigts, comme s'il n'avait jamais quittée sa frimousse. Tout comme l'entrain dans son timbre. Elle demande aussitôt un second verre et précise : « Et plus de Vodka dans celui là, j'ai rien senti. » L : Parce que tu pourrais presque te le permettre, rebelle le jour et danseuse la nuit. On imaginerait plutôt l'inverse d'habitude mais le contraire te plaît. Soudain, les premières notes d'une nouvelle chanson que tu connaissais bien se font entendre, give me the night. « Oh ! Tu vas me dire si je suis faite pour le boulot de danseuse du coup, viens ! » ━ OH NON PAS TOI : KAI x SADAOQuand l'un veut broyer du noir et noyer ses démons et que l'autre joue les emmerdeurs insouciants et légers sur la boisson... Un drôle de duo, comme chien et chat mais dans le cadre de Sin City avec des notes de polar noir et sarcastique - oui ! LE LIEN !K : «Je ne vois pas en quoi ma vie privée vous concerne. » Le tutoiement ne passe pas les lèvres de Ryu (ça serait trop familier, trop… personnel - cet échange ne devait pas devenir personnel)(et pourtant, Kai a accepté de boire, alors quoi maintenant ?) « Que faites-vous ici ? » Kai apprécie le silence, le sien, pas celui des autres, il préfère encore qu’on lui parle, il peut alors ignorer, faire sembler d’écouter, et prévoir ce qu’il doit dire ensuite (mentir). S : Tu colles un peu plus ton genoux contre le sien, c’est ton moyen d’avoir un contact et tu tapotes le bar de tes huit doigts, les pouces s’enfoncent sous le rebord, pensif. Tu lui claques la cuisse d’une main amicale, gentille mais ferme et tu lui offres le shot - whisky caramel. C’est dégueulasse, mais le sirop noie l’alcool dans le sucre et on dit que ça passe mieux ; on dit. « En vrai ta vie privée j’m’en fiche kiki, je suis là pour m’amuser, c’est pas trop ton cas hein ? T’as ramené des dossiers c’est ça ? »━ LOOK AROUND WOULD YOU : 4 x ARIEL Ils sont à l'image des lieux qu'ils visitent : colorés et vendeurs de rêve ! Ils se cherchent et posent des yeux doux sur le monde : sont-ils les enfants cachés d'Alice et du Chapelier Fou ? LE LIEN ! A : S’enveloppant de courage et de patience, il prend un bout de son écharpe la place devant son nez et sa bouche. C’est pas optimal, mais c’est mieux que rien. « Bouge surtout pas, je vais essayer de trouver le stand de barbe-à– eh là où ils vendent les nuages. » Il se met en marche, guidé surtout par ses yeux. Commence par faire le tour de la grande roue – ce serait trop con qu’il soit juste de l’autre côté. 4 : Je suis là. J'essaie de ne pas bouger. Je crois que j'ai réussi jusqu'à maintenant. J'en suis presque sûr -ou alors je ne l'ai vraiment pas fait exprès. Promis. Je regarde les autres nuages. Est-ce qu'ils sont cousins ? Je me demande s'ils se parlent encore, comme une population séparée par un océan qui, après des années d'évolution, n'ont au final plus grand chose à se dire. plus grand chose en commun.  |
